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Hommage à Vangelis

Vangelis : les compilations

III – Les compilations

On commence par 2 compilations de la période très électronique de Vangelis, avec de superbes pochettes.

« The best of » sort en 1978, et comprend les incontournables « Pulstar », « To the unknown man », « Albedo 0.39 » et « Bacchanale ». Par contre, on aurait très bien pu se passer de 10 minutes d’extrait de Beaubourg…

Et en France, on a droit à une pochette différente pour la même compilation, renommée pour l’occasion « To the unkwnown man ».

La pochette ouvrante de « To the unknown man » :

En 1981, Vangelis a droit à sa double compilation intitulée, de manière très originale, « Greatest hits ». J’aime particulièrement la pochette qui est un patchwork des albums dont sont extraits les différents titres. Alors même si on ne se débarasse toujours pas de l’extrait de 10 minutes de « Beaubourg », la compilation nous gratifie de quelques perles supplémentaires telles que « Alpha » ou « 12 o’clock ».

Un album qui n’aurait pas du se trouver là, mea-culpa, c’est « Vangelis » dans la série « Super star ». Il s’agit d’une édition propre à l’Italie, incluant un livret de 12 pages, et l’album « Earth ». Ce n’est donc pas une compilation, malgré les apparences, mais un re-design pour un album déjà ancien, puisque « Earth » est sorti en 1973, et « Vangelis » en 1982 !

La pochette ouvrante de « Greatest hits » :

Extrait du livret inclus dans « Vangelis » :

Ultime compilation des années 80, c’est « Thèmes » qui sort en 1989. Et Vangelis nous gâte, avec une très belle sélection de titres, dont certains inédits à l’époque. Parmi eux, pas mal d’extraits de BO, tels « Blade Runner », « Les chariots de feu », et « Les révoltés du Bounty », ce dernier film étant le remake de 1984 avec Mel Gibsons et Anthony Hopkins.

La pochette ouvrante de « Thèmes » :

IV – Conclusion :

Et s’il manque bien quelque chose à la discographie de Vangelis, ce sont les concerts ! Contrairement à Schulze, Jarre, Mike Oldfield… Vangelis sera avare de concerts, et il ne sortira aucun vinyl live dans les années 70/80.

Et si ma collection s’arrête à l’aube des années 90, Vangelis, lui va bien sûr continuer sa carrière, avec une douzaine d’albums supplémentaires, dont le célèbre « 1492, Conquest of paradise » qui lui vaudra un succès énorme.

Le mot de la fin pour Vangelis à qui l’on demande d’expliquer sa musique :

« All I try to do is let people know what I think through my music. I just bring the music to you and it is up to you to do what you want with it ».

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