V – Les picture discs :
Ils ont été plutôt nombreux : « No mercy », « Shakin’ like a leaf », « Nice in Nice »…

« Big in America », « Always the sun »

…et deux vinyls interview bootleg :


VI – Conclusion :
Les Stranglers ont marqué de leur empreinte la musique durant 4 décennies, avec un line-up qui a changé et un style qui a évolué. Et même si leur dernier album date de 2012, ils n’ont jamais cessé de tourner. J’ai eu l’occasion de les voir en concert au Bikini, à Toulouse, fin des années 90 ou début 2000, avec le chanteur Paul Roberts, qui avait remplacé à l’époque Hugh Cornwell. J’en ai gardé un souvenir inoubliable : très bonne énergie (le chanteur qui se roule sur scène torse nu), voix admirablement juste, et panel de chansons parfaitement appropriées au live. Avec l’obligatoire « Goodbye Toulouse » jouée uniquement pour l’occasion.

Pour découvrir une autre facette du groupe, je vous invite à regarder le dvd live « Friday the thirteenth », un concert au Royal Albert Hall de 1997, où ils sont accompagnés d’un orchestre de cordes. C’est magique !
Il existe également la compilation « The video collection 1977-1982 », qui reprend des extraits de concerts et leurs premiers clips. Incontournable !
Dernier DVD, c’est « Euro live », à l’image extrêmement sombre, mais c’est un concert brillant au très bon son, avec Paul Roberts au chant, lors d’un concert donné en Pologne en 2000.
Pour terminer, je citerai Hugh Cornwell à propos de leurs 1ères années de succès :
Je ne nous vois pas comme des punks. Nous étions plus comme The Police et The Jam. Nous avions le côté énergique du punk, mais c’était trop malin, trop accompli pour être seulement ça. Nous étions à la marge du punk et c’est pourquoi nous avons pu survivre.
